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Colloque International : Cours et Patios en Méditerranée

by Archi Mag

L’École Nationale d’architecture et d’Urbanisme (ENAU) organise avec le Laboratoire d’Archéologie et d’Architecture Maghrébine (LAAM) – Université de la Manouba (UMA), le Laboratoire Ville Durable et Environnement construit (VDEC) – Université de Carthage (UCAR) et le Laboratoire de Recherche en Patrimoine et Architecturologie (LarPA) – Université de Carthage (UCAR), ), en partenariat avec l’Association de Sauvegarde de la Médina de Tunis (ASM) et l’Association Villes Historiques de la Tunisie et de la Méditerranée (AVHTM, la première édition du colloque international « Cours et Patios en Méditerranée » les 12, 13 et 14 Février 2026, à Dar Lasram, ASM, La Médina, Tunis, Tunisie.

Argumentaire
L’habitation, dont l’une des fonctions premières est d’offrir un abri, exprime depuis toujours un rapport essentiel entre l’intérieur et l’extérieur, modulé selon les cultures, les lieux et les époques. Dans la maison à cour ou à patio, qui s’impose comme l’un des archétypes majeurs de l’habitat humain, ce rapport se fonde sur l’appropriation intime d’un fragment de ciel au cœur de l’espace domestique.

Nous rencontrons l’archétype dans des contextes culturels, historiques et géographiques très variés : des cités antiques du monde gréco-romain à l’Egypte pharaonique, de la Chine impériale aux grandes capitales du monde arabo-islamique, jusqu’aux villes de l’Amérique Latine où le conduit sa pérégrination depuis l’Andalousie(Abdulac, 2011).

Au-delà de sa portée universelle, la maison à cour/patio demeure profondément ancrée dans les traditions méditerranéennes, au point d’en constituer une figure emblématique. Elle y témoigne d’une longévité exceptionnelle et surprend par sa capacité à se modeler selon les contextes culturels et physiques où elle prend racine.

Au XXᵉ siècle, elle est redécouverte par les architectes modernes, qui s’en emparent pour en faire l’un des vecteurs de renouvellement formel et programmatique, dans un contexte de resémantisation de l’habitat à l’ère machiniste. Elle réapparaît ensuite avec force dans les œuvres des architectes du régionalisme critique, soucieux d’ancrer l’architecture dans des réalités culturelles et climatiques spécifiques. La seconde moitié du XXème siècle est donc naturellement marquée par un retour réflexif sur l’architecture vernaculaire pour alimenter une pensée architecturale contextuelle (Lucan, 2023).

Durant cette période particulièrement féconde en échanges d’idées et d’expériences entre les architectes des deux rives de la Méditerranée, la réinterprétation de la maison à patio contribue de manière significative au renouvellement de l’architecture savante de l’habitat. De nombreux projets de groupements de maisons à patio émergent alors, se diffusant du Maghreb jusqu’aux pays d’Europe du Nord (Pinson, 2010)(Ben Abdelghani & Ammar , 2018)(Demerdash & Gharbi , 2025 ).

L’investigation des formes, des typologies et des configurations spatiales et sociales de la maison à cour ou à patio en Méditerranée — qu’elle soit individuelle ou collective, vernaculaire ou savante — pourrait se poursuivre dans la longue durée, tant elle est révélatrice de la vie des habitants et de leurs façons d’habiter, des satisfactions et des échecs dans l’habitation et le chez soi qui fondent le rapport même de notre être au monde.

Le wast ed-dar (وسط الدار) d’un dar de la médina maghrébine, vibrant au rythme des musiques d’un orchestre de mariage ; celui d’un riad, ponctué par le murmure des fontaines et le chant des oiseaux nichés dans une végétation luxuriante ; l’atrium d’une domus patricienne, alangui sous l’ombre d’un vélum ; le cortile opulent d’un palazzo ; le sahn (صحن) d’un fondouk (فندق), d’un khan (خان), ou encore le cortile d’un fondaco, traversés par des pas qui se croisent ou se séparent ; le chiostro silencieux d’un cloître monastique — autant d’atmosphères qui incarnent, dans leur singularité, la richesse d’un archétype partagé.

L’étude de ces configurations façonnées selon les normes du groupe domestique et pour ce groupe est matière à traiter à la fois des structures sociales, des géographies linguistiques, des imaginaires collectifs, des dynamiques communautaires et des modes d’appropriation de l’espace domestique au sein des sociétés méditerranéennes (Rapoport, 1972) (Thyssen, 1983).

Au début de ce XXIème siècle marqué par des bouleversements politiques, économiques, environnementaux et sociaux profonds, la maison à cour/patio retrouve toute son actualité. Dans un contexte marqué par une urgence climatique et l’épuisement imminent des ressources fossiles, le caractère durable et les performances climatiques des architectures vernaculaires ainsi que leurs interprétations par les architectes du XXème siècle suscitent un regain d’intérêt. Aussi bien les territoires du Nord que ceux du Sud sont désormais concernés par les questions du réchauffement climatique et de la transition écologique qui incitent à développer une architecture de régulation thermique, résiliente et passive (Frini & Rahm, 2025).

Dès lors, Il reste encore beaucoup à apprendre des savoir-faire accumulés pendant des siècles en Méditerranée, conjuguant l’architecture du patio ou de la cour à des dispositifs annexes ( iwans, galeries, fontaines, vélums, plantes grimpantes, etc.) , à des matériaux ( la céramique , le marbre, etc.) ainsi qu’à des rituels domestiques tels que l’aspersion du sol avec de l’eau ou le déplacement des lieux des pratiques habitantes selon l’heure de la journée (Fathy, 1970/1999) (Abdulac, 2011) (Landoulsi, 2021).

Si la question climatique est intrinsèquement liée à la dimension culturelle, elle ne saurait non plus être dissociée des préoccupations relatives à la qualité de l’espace de vie. La modulation des conditions environnementales — gestion de la température et de l’humidité ; de l’ensoleillement et de la ventilation — est essentielle pour créer une habitation agréable à vivre. Mais cette quête du bien-être, reflet des aspirations propres à chaque époque, se voit aujourd’hui investie de significations nouvelles.

Dans un monde hyperconnecté, marqué par une montée de l’individualisme, le bien-être s’associe désormais inéluctablement à la santé mentale et invite à une réflexion profonde sur notre rapport à soi, aux autres et à la nature. Peut-on, dès lors, envisager l’espace habité comme un possible lieu de reconnexion au monde ?

C’est à travers cette interrogation que resurgit la dimension ontologique – souvent occultéede l’habiter, telle que l’avaient pensée des philosophes comme Heidegger au milieu du XXe siècle. « L’homme habite le monde », écrivait-il, « le monde est son espace », et « cet entre-deux est la mesure assignée de l’habitation de l’homme ». Revisitée à la lumière des enjeux contemporains, cette perspective permet d’entrevoir, dans le patio, l’expression manifeste d’un entre-deux qui relie l’être à des instances transcendantales telles que la nature, le ciel et le cosmos (Heidegger, 1951)(Bonicco-Donato, 2019)(Paquot, 2020).

En effet, avec sa perspective sur le ciel – (wejh rabbile patio incarne l’esprit des lieux de la maison. De par sa disposition, conçu comme l’aboutissement d’un parcours composé de dispositifs de filtrage visuel, lumineux, aéraulique, sonore, il dessine une gradation ambiantale prenant l’aspect d’une bulle protectrice au cœur de la maison, une bulle ouverte à l’infini du ciel.

Celle-ci revêt une portée métaphysique dont il découle un sentiment de sérénité, de « raha » exprimé par les habitants témoignant de ces dimensions à la fois de bien-être climatique et d’expérience suprasensible qui subsume le registre sensible et déploie ainsi une dimension sacrée, spirituelle ou sublime (Landoulsi, 2019).

Cette architecture vernaculaire correspond à une vision unifiée du sujet et du monde que l’on retrouve dans la langue arabe ou encore dans la pensée islamique en particulier celle d’Ibn Arabi (Sellami, 2021). Cette pensée se recoupe avec l’alternative atmosphérique qui consiste à considérer la vision d’un homme qui se meut d’emblée dans un état de résonance complète avec le monde (Rosa, 2018).

Aborder le patio au prisme du sensible, voire du suprasensible, devrait permettre d’ouvrir des pistes de réflexion sur les conditions de transposition de ce dispositif dans le cadre d’un projet contemporain qui accorde la primauté à l‘habiter.

Dans cette perspective, il est également pertinent d’interroger la manière dont l’art s’empare de cet espace, porteur d’un potentiel générateur d’expériences sensibles et singulières, comme en témoignent les installations artistiques réalisées, par exemple, lors des festivals Dream City à Tunis ou Architectures vives à Montpellier (Catalogue l’Art Rue, 2025) (Morain, 2023).

Objectifs
Le présent colloque propose d’interroger cet archétype architectural à travers une approche pluridisciplinaire croisant les perspectives architecturales, anthropologiques, philosophiques, ethnographiques, bioclimatiques, etc. Il s’agira de l’aborder comme une forme universelle et récurrente, révélatrice d’une intelligence de l’espace et d’une ontologie de l’habiter, enracinées dans la longue durée des civilisations méditerranéennes et source permanente de renouvellement pour la pensée comme pour la pratique architecturale.

C’est dans ce cadre que nous proposons de réfléchir, de révéler par l’analyse et de matérialiser — par des productions iconographiques, textuelles et narratives, audiovisuelles ou scénographiques — les réalités tangibles ou immatérielles de ces types bâtis individuels ou collectifs, savants ou populaires, modestes ou appartenant aux classes aisées, et qui constituent les archétypes de l’habiter et de l’habitat en Méditerranée dans un arc temporel s’étendant de l’Antiquité au monde contemporain.

Dans le cadre d’une réflexion plurielle qui met en réseau des chercheurs de différentes disciplines et de plusieurs villes méditerranéennes, mais également des architectes praticiens qui ont eu l’occasion de réactiver le patio dans leur(s) projet(s) sous une forme ou une autre, ainsi que des artistes que le patio inspire, le colloque propose d’explorer quatre thématiques complémentaires et transversales.

Axes thématiques
AXE 1. La cour et le patio comme éléments structurants de l’habitat méditerranéen : Formes, pratiques socio-spatiales et identités culturelles
Cet axe replace la cour et le patio au centre des dynamiques sociales et culturelles de l’habitat méditerranéen. En tant que catalyseurs de pratiques habitantes ancrées dans des contextes culturels et physiques pluriels, ces dispositifs se déploient comme autant de réceptacles de scènes de vie révélant les normes, les valeurs et les imaginaires collectifs des groupes qui les habitent. Il s’agit d’observer ces espaces comme des lieux de régulation sociale où se négocient en permanence les frontières entre le privé et le public, l’individuel et le collectif, l’appartenance communautaire et l’appropriation individuelle, la quotidienneté et l’événementiel.

AXE 2. Cours et patios, histoire bioclimatique et dispositifs ambiantaux
Cet axe aborde les dimensions bioclimatiques et ambiantales des cours et patios, véritables dispositifs de régulation thermique entre le dehors et le dedans, adaptés aux nuances climatiques méditerranéennes.

L’étude approfondie de ces systèmes alliant maîtrise des phénomènes physiques tels que la convection, la conduction, l’évaporation et la radiation à des codes comportementaux et à l’exploitation des ressources naturelles locales, ouvre la voie à un renouvellement de la pratique architecturale contemporaine, en l’ancrant dans des contextes physiques et culturels spécifiques, pour produire des habitats résilients et adaptés aux défis actuels.

Axe 3. Cours et patios, expérimentation(s) phénoménologique(s)
Cet axe aborde le patio comme le lieu qui autorise une résonance du sujet avec le monde, le lieu d’une expérience individuelle et/ou partagée, le lieu d’une expérience multisensorielle et esthétique (au sens d’aestheisis), le lieu fondateur d’un commun dans ces expériences en partage.

Dans cette perspective, il est question d’évaluer les tonalités ambiantales à l’origine de cette résonance, le lien entre les configurations spatiales, les représentations sociales, les dimensions sensibles et transcendantales.

Cet axe souhaite donc interroger les dimensions esthétiques, symboliques et suprasensibles du patio. Il est question également d’aborder le potentiel générateur d’inspiration, d’expression et d’expérience artistique de ce dispositif.

Axe 4. Cours et patios réinventés : expérimentations architecturales du XXe siècle et résonnances actuelles
Cet axe s’intéresse à la maison à patio/cour comme une figure centrale de réflexion et de projet. Bien qu’ayant fait l’objet d’une littérature abondante, l’héritage prolifique d’un siècle d’expérimentations dues essentiellement aux architectes modernes et régionalistes autour des dispositifs du patio et de la cour, reste à documenter et à étudier.

Il s’agit alors d’interroger, à travers ces diverses expériences, l’universalité de cet archétype qui, loin d’encapsuler l’habitat dans un modèle rigide et normatif, repose sur ce qui à la fois, réunit les cultures et les magnifie dans leurs précieuses singularités.

En parallèle, il s’agira d’interroger l’actualité de cette figure, à travers les problématiques qui lui sont rattachées et les approches par lesquelles elle continue d’alimenter la pratique architecturale contemporaine, à la croisée des enjeux et défis contemporains.

En plus des contributions scientifiques, il est attendu des retours d’expérience d’architectes praticiens ainsi que des œuvres, performances ou installations artistiques.

Partenaires

L’Ecole Nationale d’Architecture et d’Urbanisme de Tunis, ENAU
l’Université de Carthage, UCAR
l’Université de la Manouba, UMA
Le Laboratoire d’Archéologie et d’Architecture Maghrébine, LAAM – UMA
Le Laboratoire Ville Durable et Environnement Construit, VDEC – UCAR
Le Laboratoire de Recherche en Patrimoine et Architecturologie, LarPA – UCAR
l’Association de Sauvegarde de la Médina de Tunis, ASM
l’Association Villes Historiques de Tunisie et de Méditerranée, AHTVM
l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille, ENSA-Marseille, France
Universidade de Coimbra, Portugal
Université d’Alexandrie, Egypte
La Universidad de Córdoba, Espagne
Università degli Studi di Padova, Italie
Université internationale de Rabat, Maroc

Comité de pilotage et rédaction de l’argumentaire

Leila AMMAR, architecte, Professeure ENAU-UCAR, chercheuse LAAM
Narjes BEN ABDELGHANI, architecte, Maître-Assistante ENAU-UCAR, chercheuse LAAM
Alia SELLAMI, architecte, Maitre de conférences ENAU-UCAR, chercheuse LarPA-ERA
Imen LANDOULSI, architecte urbaniste Atmosphères, enseignante ENAU-UCAR, chercheuse LarPA-ERA
Salma GHARBI, architecte, enseignante ISTEUB-UCAR, chercheuse LarPA-ERA

Comité scientifique
(membres classés par ordre alphabétique)

Beya ABIDI, Université de La Manouba, LAAM (TU)
Georges ARBID, Arab Center for Architecture (LB)
Leila AMMAR, (TU)
Imane BENNANI, Université internationale de Rabat (MA)
Narjes BEN ABDELGHANI, (TU)
Mohamed-Ali BERHOUMA, Université de Carthage, ISBAN (TU)
Marc BREVILGIERI, EHSS (CH), Cresson Grenoble (FR)
Catherine COMPAIN-GAJAC, DOCOMOMO (FR)
Maria DA CONCEIÇÃO LOPES, Universidade de Coimbra (PT)
Ahmed EL BAHI, Université de La Manouba, LAAM (TU)
Carmen GONZALEZ, La Universidad de Córdoba
Mohamed Sadok GUELLOUZ, Université de Monastir, LESTE (TU)
Fakher KHARRAT, Université de Carthage, LarPAA/ERA (TU)
Imen LANDOULSI, Université de Carthage, LarPAA/ERA (TU)
Sihem NAJAR, Université de La Manouba, LTMC (TU)
Philippe RHAM, ENSA Versailles (FR)
Alia SELLAMI, Université de Carthage, LarPAA/ERA (TU)
Ahmed SAADAOUI, Université de La Manouba, LAAM (TU)
Paola ZANOVELLO, Università degli Studi di Padova (IT)
Yadh ZAHAR, Université de Carthage, VDEC (TU)

Comité d’organisation
(membres classés par ordre alphabétique)

Samia AMMAR, UCAR – ENAU, UMA – LAAM
Ahlem BEN ABDESSALEM, UT – ISBAT, UMA – LAAM
Narjes Ben Abdelghani, UCAR – ENAU, UMA – LAAM
Esmahen BEN MOUSSA, UT – ISMPT, UMA – LAAM
Chiraz CHTARA, UCAR – ENAU, LarPA/ERA
Salma GHARBI, UCAR- ISTEUB/ENAU, LarPA/ERA
Asma GUEDRIA, UCAR- ISTEUB/ENAU, LarPA/ PAE3C
Nour El Houda JOUINI – UCAR-ENAU, LarPA/ PAE3C
Imen LANDOULSI, UCAR – ENAU, LarPA/ERA
Alia SELLAMI, UCAR – ENAU, LarPA/ERA
Afef TRABELSI, UMA – ISAMM, LAAM
Imène ZAAFRANE, UCAR – ENAU, VDEC

Références bibliographiques

Abdulac, S. (2011). Les maisons à patio: continuités historiques, adaptation bioclimatiques et morphologies urbaines.

Ammar, L. (1899/2010). Histoire de l’Architecture en Tunisie de l’antiquité à nos jours. CPU.

Ben Abdelghani, N., & Ammar , L. (2018). Maisons à cour et logements de recasement pour les populations musulmanes pendant la reconstruction 1943-1955. Al-Sabîl Revue d’ Archéologie et d’Architecture Maghrébines, 5.

Bonicco-Donato, C. (2019). Heidegger et la question de l’habiter: une philosophie de l’architecture . Marseille.

Catalogue l’Art Rue). (2025, 07 01). Récupéré sur L’Art Rue: https://lartrue.org/fr/recherche?term=catalogue

Demerdash, N., & Gharbi , S. (2025 ). Rebuilding form modern living: architectural typologies and reconstruction in postwar Tunisia . The journal of North African Studies , 1-34.

Fathy, H. (1970/1999). Construire avec le peuple, Histoire d’un village d’Egypte: Gourna. Sindbad Actes Sud.

Frini, S., & Rahm, P. (2025). 4°celcius entre toi et moi. Biennale d’Architecture et de paysage d’Ile-de-France.

Heidegger, M. (1951). Bâtir, habiter, penser. Dramstadt.

Landoulsi, I. (2019). Thèse de doctorat, ENAU Tunis.

Landoulsi, I. (2021). L’âme de Nefta, une perception sensible du bien-être en contexte oasien. Dans M. Breviglieri, N. Gamal Said , & D. Goeury, Résonances oasiennes. MétisPresses.

Lucan, J. (2023). Habiter ville et architecture. EPFL Press.

Morain, O. (2023). Récupéré sur https://www.franceinfo.fr/culture/arts-expos/architecture/a-montpellier-le-festival-architectures-vives-imagine-un-monde-sacre_5892562.html

Paquot, T. (2020). Demeure terrestre: enquête vagabonde sur l’habiter . Paris : Terre Urbaine .

Pinson, D. (2010). La théorie au risque de la doctrine dans le Mouvement moderne, ou comment Sert et Ecochard ont fait vivre la première contre la seconde. Les Cahiers d’EMAM, 20, 23-31.

Rahm, P. (2023). Climatic architecture . New York, Barcelona : Actar Publishers.

Rapoport, R. (1972). Pour une anthropologie de la maison . Paris : Dunod. Collection de l’urbanisme .

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Sellami, A. (2021). La porosité au fondement de l’ambiance oasienne. Dans M. Breviglieri, Gamal Said, Noha , & D. Goeury, Résonnances oasiennes (pp. 75-94). MétisPresse.

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